La FFA fait cinq nouvelles propositions de bonne gouvernance pour rendre plus efficace les entreprises et organisations dans le contexte actuel :

  • articuler les relations entre l’entreprise et ses actionnaires
  • entendre les parties prenantes
  • partager la stratégie de l’entreprise
  • évaluer l’apport individuel des administrateurs
  • contribuer à la durabilité

Les praticiennes administratrices des réseaux constituant la FFA ont travaillé plusieurs mois à partir de leurs expériences et leur vision de l’avenir pour produire ce deuxième Livre blanc, qui est une référence à la fois simple à appréhender et ambitieuse sur le fond, pour toutes les organisations.

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L’impulsion donnée pour une gouvernance mixte à tous les niveaux reste encore tout à fait récente dans notre pays. Elle passe par la contrainte de la loi, tant les tentatives de simple incitation ont montré leur incapacité à faire évoluer les situations. […]

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La FFA est heureuse de vous annoncer que sa nouvelle présidente est désormais Marie L’Hermite, vice-présidente de l’Association française des femmes juristes. La présidence de la FFA étant tournante entre les associations fondatrices, le moment était venu que l’AFFJ prenne son tour. […]

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L’activisme actionnarial toujours plus actif pousse les entreprises à s’engager davantage dans leur devoir de vigilance sociétal mis en place par la loi spécifique du 27 mars 2017. En cette période d’assemblées générales, il est bon de se rappeler que les risques juridiques existent et que les risques réputationnels montent en puissance. […]

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L’Observatoire de la féminisation des entreprises, dirigé par le professeur Michel Ferrary de Skema Business School démontre une fois encore les liens entre la mixité des fonctions de responsabilité assurées par les femmes dans les entreprises et la performance opérationnelle et sociétale.

Etude complète

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46,4 % de femmes siègent aux conseils d’administration des sociétés du CAC 40 et 46,3 % au sein du SBF 120, selon l’étude 2023 IFA/Ethics & Boards publiée début mars 2023. Les obligations fixées par la loi Copé-Zimmermann de 2011 sont donc bien respectées dans ces cénacles. Par ailleurs, 26,4 % de femmes sont désormais membres des Comex des sociétés du SBF 120, soit 2 points de plus qu’en 2022 et 10 points de plus qu’en 2017, et à quasi-égalité avec les Etats-Unis, où la proportion de féminisation des Comex atteint 26,6 %.

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La séance inaugurale des Webinars FFA de la gouvernance aura lieu le 31 mai à 18 h avec Dominique Druon, directrice générale d’Aliath et administratrice indépendante, sur le thème « Vers la gouvernance duale, atout stratégique dans un monde en crise et en mutation ? »

Dominique Druon fonde Aliath en 2012, un cabinet de conseil et formation en gouvernance auprès des CEO des grands groupes, ETI, PME et fonds d’investissement. Dominique Druon est également administratrice indépendante depuis plus de dix ans, ingénieure, diplômée de l’UTC, administratrice certifiée de l’ESSEC, et business angel.

Le webinar est ouvert à toute personne intéressée, sur inscription cliquer ici pour s’inscrire

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Ils sont peu nombreux, les fonds d’investissement à miser sur la mixité. Sans doute une dizaine sur la place de Paris là où les fonds misant sur la responsabilité environnementale sont plus d’une centaine. Le colloque de la FFA de juin 2019 avait déjà pointé l’importance de ne pas négliger ce sujet dans la finance durable.

Télécharger le compte rendu du colloque du 3 juin 2019

Un bel exemple de société d’investissement misant sur la mixité de décision : Mirova. Le directeur CIO Equity & FI de Mirova, Hervé Guez, indiquait lors des Assises de l’égalité 2GAP le 7 mars dernier :

« Jusqu’a présent les mesures en Europe n’ont pas eu d’effet significatif sur la composition des comités de direction (même taux de féminisation aux USA et en Europe c-à-d très bas, alors que l’Europe a introduit des mesures de RSE et de féminisation des boards). Il est temps de s’attaquer au cœur du problème. Les investisseurs doivent peser, non seulement parce que cela doit être une composante de leur politique de responsabilité, mais aussi parce que la modification de la culture d’entreprise afin que tous les talents soient reconnus améliorera le rendement de l’épargne de long terme. Offrir une solution d’investissement qui fait du critère de la féminisation des conseils une condition de l’investissement est une façon visible de faire de l’engagement sur ce sujet en mettant en valeur les bonnes pratiques, et en montrant que cela s’accompagne de performances économiques dans la durée (mais bien sûr pas uniquement dues à la féminisation des comex. »

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