En 2016, 36% des personnes prenant la parole à l’écran sont des femmes, soit la même proportion qu’en 2014, alors qu’elles représentent 52% de la population française, selon la nouvelle édition du Baromètre de la diversité du CSA consacré à l’équilibre homme/femme. De même, concernant la représentation des femmes dans les différentes catégories de programme, les résultats de 2016 font apparaître une diminution du taux de présence des femmes dans : les magazines et documentaires (32% vs 34% en 2014), la fiction (35% vs 37%) et la fiction française récente de moins de 3 ans (37% vs 41%). En revanche, selon le CSA, 3 catégories de programmes sont en légère hausse : les divertissements (41% vs 39% en 2014), l’information (37% vs 36%) et le sport (17% vs 16%). En outre, les femmes sont davantage mises en avant dans des rôles « secondaires » (35% vs 33%) que dans des rôles d’héroïnes (33% vs 32%) ou des rôles « principaux » (33% vs 40%). Enfin, si le taux de femmes héroïnes est en hausse dans les fictions (28% vs 25%), il est en revanche en baisse dans les magazines et documentaires (27% vs 33%) ainsi que dans l’information (46% vs 51%). […]

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Source : ethicsandboards.com

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En trois minutes d’un interview vidéo, vous connaîtrez l’essentiel sur l’avancement de la féminisation (1 000 administratrices) à fin juin 2016 des Conseils d’Administration et de Surveillance de près de 400 sociétés cotées sur Euronext Paris », par Guy Le Péchon, Gouvernance & Structures

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uatrième palmarès annuel de la féminisation des grandes entreprises. Dans les Conseils d’administration, et plus généralement dans les instances de décision, la part des femmes continue de progresser… plus ou moins lentement. Détails des chiffres et des bonnes élèves.

Bouleversement en tête du palmarès de la féminisation des instances dirigeantes des grandes entreprises, dévoilé mardi 15 novembre. En tête ces deux dernières années, Sodexo recule à la cinquième place. Alors même que Sophie Bellon en est devenue la patronne en 2016, l’entreprise de services a vu la part des femmes reculer dans son Top 100. Cette année, c’est […]

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18,2% des administratrices élues en AG 2016* dans les conseils du SBF120 ont un parcours professionnel dans la technologie ou les médias.

13,2% pour les administrateurs élus.

Source : ethicsandboards.com

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FOCUS – Elles rêvent d’avoir un poste à responsabilités. Une étude place les Françaises sur la première marche du podium en matière d’ambition professionnelle, loin, très loin devant les Allemandes (22e place) ou les Chinoises (24e place).

En entreprise, l’ambition est partout. Si vous balayez votre open space d’un regard, il y a de fortes chances pour qu’une grande majorité de vos collègues débordent d’une ambition que vous n’imaginez peut-être pas… Que ce soit les hommes ou les femmes, le carriérisme est bien présent dans les bureaux. Selon une étude menée par le cabinet Hays, à la question «aspirez-vous à atteindre une place de leadership – peu importe laquelle – au cours de votre carrière?», 64% des femmes ont répondu par l’affirmative. Cela représente 15% de moins que leurs homologues masculins, qui ont répondu «oui» à 79%. […]

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46 membres de Conseils du SBF120 ont moins de 40 ans
7 sont indépendants

Source Ethics & Boards

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Un récent rapport de l’Université Carleton et de Gestion de Patrimoine BMO bat en brèche l’idée reçue voulant que les femmes entrepreneures soient moins téméraires que les hommes.
De fait, 72 % des femmes entrepreneures interrogées dans le cadre de l’étude se disaient très ou relativement à l’aise de prendre des décisions fondées sur les risques d’affaires, comparativement à 64 % pour leurs pairs masculins. De plus, les deux genres n’approchent pas le risque de la même manière. Les chercheurs de l’Université Carleton ont noté que les femmes axent leur gestion des risques sur les intérêts de leur entreprise, tandis que les hommes considèrent la prise de risques comme un moyen d’assurer leur sécurité financière. Autrement dit, pour eux, le risque est un moyen de créer des débouchés. Cela dit, ni les hommes ni les femmes ne sont des casse-cou, contrairement à l’image souvent véhiculée des entrepreneurs. En effet, 64 % des hommes et 57 % des femmes sont d’avis que le risque doit être savamment mesuré, calculé et géré.

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