Ce n’est pas une biographie, mais un portrait. Elisabeth Badinter a passé six ans dans la vie de Marie-Thérèse d’Autriche, dont on ne connaît en France que sa qualité de mère de la future reine Marie-Antoinette. Or Marie-Thérèse, qui a régné de 1740 à 1780 sur le plus grand empire d’Europe, est un personnage considérable, une souveraine absolue qui, en prime, donna naissance à 16 enfants. Le pouvoir au féminin emmène le lecteur dans l’exercice du pouvoir au féminin, occasion de nombreux parallèles avec l’actualité mais aussi avec une Europe qui, malgré les guerres qui y règnent, réussit à nous faire rêver.

Qu’est-ce qui vous ramène toujours au XVIIIe siècle ? Le rôle qu’y jouent les femmes ?

Pas seulement. J’y reviens toujours parce que j’y trouve des personnages parfois oubliés, qui nous parlent de nous, qui ont au cours de leur vie affronté des problèmes qui nous concernent et ont quelque chose à nous dire. Que ce soit Condorcet qui permet d’aborder la laïcité, l’éducation, le racisme ou l’antisémitisme, Mme du Châtelet et son incroyable modernité, et maintenant Marie-Thérèse d’Autriche, qui règne de 1740 à 1780.

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Décerné tous les deux ans, ce prix récompense l’excellence professionnelle des femmes qui influencent d’autres femmes pour les inciter à faire carrière dans le droit et des femmes qui offrent à d’autres femmes des opportunités dans la profession juridique. Mme Xueref se verra remettre son prix à Berlin, en Allemagne, lors de la 7ème Conférence IBA des femmes juristes intitulée « Le droit dans un monde en plein changement – Comment les femmes peuvent contribuer à l’innovation de la profession juridique » [Law in a changing world – how women can contribute to innovation of the legal profession], qui se tiendra les 7 et 8 avril 2016.

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Dans un an, la part des femmes dans les conseils d’administration des grosses entreprises devra atteindre les 40%, selon la loi. Cinq ans après l’entrée en vigueur de la loi Copé-Zimmerman, RMC fait le point.

L’égalité hommes-femmes avance dans les entreprises. Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes fait le bilan, cinq après l’entrée en vigueur de la loi Copé-Zimmermann, qui prévoit que la part de femmes dans les conseils d’administration des grandes entreprises doit atteindre 40% l’année prochaine.

Selon les chiffres que RMC a pu se procurer, la situation a évolué positivement. Dans les entreprises du CAC 40, on compte aujourd’hui 28% de femme dans les conseils d’administration, contre 10% en 2010. A l’inverse dans les plus petites entreprises, les ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire), non cotées, c’est plus difficile: 14% de femme seulement. […]

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Les grandes entreprises n’ont plus qu’un an pour nommer 40% de femmes dans leurs conseils d’administration. Les petites sociétés sont encore à la traîne.

EXCLUSIF –
Objectif 40%. Il ne reste plus qu’un an aux entreprises pour respecter la loi et nommer 40% de femmes dans les conseils d’administration. Cette loi, votée en 2011, concerne les sociétés de plus de 500 salariés et de plus 50 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Pour la moitié de ces entreprises, l’objectif est atteint. Trois fois plus de femmes siègent dans les conseils d’administration qu’en 2011, où elles n’étaient que 9%. Mais, dans les sociétés plus petites, il manque encore un millier de femmes pour participer aux décisions, puisque seulement 14,2% de femmes siègent dans leur conseil d’administration, selon un rapport du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes. […]

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«Une relation gagnante-gagnante qui débouche parfois sur de vraies amitiés.»

VIVIANE DE BEAUFORT, PROFESSEURE À L’ESSEC

apporte des retours sur ce qu’il se passe sur le terrain, le regard de sa génération.» «Une relation gagnante-gagnante, résume Martine Van Went.
Qui débouche parfois sur de vraies amitiés et du mentoring inversé, la mentorée conseillant son ex-mentor à l’occasion.»

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Mardi 1er décembre 2015 ont été décernés les Trophées de la femme dans l’assurance. A cette occasion, les treize lauréates de cette quatrième édition ont répondu aux questions de l’Argus et délivré des conseils aux lectrices. Découvrez l’intégralité des interviews, à retrouver dans l’Argus du 4 décembre. Qui a dit : «Pour réussir dans le monde, retenez bien ces trois maximes : voir, c’est savoir ; vouloir, c’est pouvoir ; oser, c’est avoir» ? Réponse : Alfred de ­Musset. Près de deux siècles plus tard, ce credo est, semble-t-il, repris aujourd’hui par les ­lauréates 2015 aux Trophées de la femme dans l’assurance. En effet, pour cette 4e édition, nous avons ­décidé d’innover en interrogeant – sans pour autant…

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digiSchool s’est entretenu avec Aline Aubertin, présidente de l’association Femmes Ingénieurs. Aline Aubertin nous présente l’association, ses missions et les enjeux de la féminisation des formations scientifiques et techniques.

Présentez-nous l’association Femmes Ingénieurs
L’association Femmes Ingénieurs est une association loi 1901 existante depuis 1982. Notre siège social se situe à Paris, chez IESF (Ingénieurs et Scientifiques de France). L’association Femmes Ingénieurs cible des personnes physiques, c’est à dire des individus exerçant des activités d’ingénieurs et scientifiques mais nous sommes également ouverts a l’adhésion des personnes morales : associations et entreprises. Cinq entreprises sont ainsi adhérentes : GE, RTE, Nexter, Orange et Bouygues Telecom. […]

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