Féminisation ou professionnalisation des Conseils d’administration: même combat !

Nombre de prises de positions, articles et débats fleurissent à propos des effets de la « féminisation « des Conseils d’administration et de surveillance (CA), chiffres à la clé démontrant la progression fulgurante, liée à l’effet de levier de la loi Copé-Zimmerman[1].On s’interroge moins souvent sur les conséquences potentielles de cette mixité, ni par ailleurs sur le périmètre d’efficacité de la loi. Creuser ces 2 thèmes, avec l’objectif d’une première approche à compléter ultérieurement est l’objectif de cet article en mode «warning» et «to do»

La Mixité, pourquoi faire? Une amélioration constatée de la gouvernance

A partir de l’étude « Femmes, pouvoir et bonne gouvernance: modèle à créer »[2]?, quelques paradigmes ont été identifiés autour de la perspective « idéalisée » de la gouvernance que des candidates à des mandats[3] ou exerçant des mandats depuis peu expriment. Les dirigeants en témoignent, des femmes dans les CA apportent souvent un œil neuf et une professionnalisation de la démarche. Plus récentes, donc plus indépendantes des décisions passées, elles sont plus authentiques et très sérieuses dans leur approche; s’ensuit une valeur ajoutée réelle. Cinq paradigmes peuvent résumer cette valeur ajoutée: consulter l’article complet sur businessofeminin.com

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