Entreprises sans femmes aux conseils d’administration : vous pouvez arrêter votre reporting RSE !

À l’ère où la responsabilité sociale et environnementale (RSE) occupe une place centrale dans les sollicitudes des parties prenantes (consommateurs, fournisseurs, salariés, investisseurs, etc.), les entreprises se sont livrées à une course effrénée en matière de divulgation d’information extra-financière.

Des rapports annuels spécifiques pour la RSE

Un rapport de l’Autorité des Marchés Financiers publié en 2013 met en lumière le fait que l’information en matière de responsabilité sociétale (RSE) représente en France environ 9 % de l’information totale contenue dans les rapports annuels des entreprises cotées. Un autre rapport deKPMG souligne que la France est le deuxième pays dans le monde après le Japon à divulguer le plus d’informations concernant la RSE. Certaines entreprises consacrent un rapport spécifique à la RSE d’une dizaine voir parfois d’une centaine de pages qui se rajoutent aux informations contenues dans le rapport annuel.

Cet engouement est le fruit d’une succession de lois ayant contribué significativement à cette prise de conscience collective des entreprises des intérêts sociaux et environnementaux. La plus importante demeure néanmoins la loi NRE de mai 2001 avec son article 116 qui oblige les entreprises cotées à rendre public un reporting social et environnemental.

Consulter l’article complet sur : theconversation.com

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